Joanna Szproch
Alltagsfantasie
45,00€
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Alltagsfantasie – Une publication qui est elle-même une œuvre d’art : le livre photo Alltagsfantasie de Joanna Szproch est une ode à l’autonomie sexuelle et célèbre la sensualité féminine.
Alltagsfantasie est une courageuse performance photo-textuelle illustrée – un autoportrait à plusieurs niveaux – dans laquelle l’artiste nous invite à reconsidérer les notions d’identité, de rôles de genre et d’autoportrait. Elle aiguise notre regard sur la quête individuelle et sociétale d’autonomisation et ouvre l’espace à un examen critique des structures et normes de pouvoir existantes. « Je pénètre avec curiosité mon Alltagsfantasie infinie qui résonne avec mon vrai moi. Cela me permet de vivre de manière authentique malgré les apparences illusoires. La vie est un mystère miraculeux. »
Au cours d’un long processus de création qui a débuté en 2010 et s’est poursuivi jusqu’en 2021, Joanna Szproch a créé bien plus qu’un extrait remarquable de sa biographie. Patrycja, un jeune mannequin, joue le rôle d’alter ego de l’artiste. Les niveaux temporels se condensent en une mise en scène ultra-personnelle de moments quotidiens fantasmés, un collage de passé et de présent, des fragments de rêves et de souvenirs. Le livre qui naît de ce processus complexe renvoie à la fois à son propre moi et à celui qui naît dans le contexte des empreintes sociales et culturelles. C’est précisément dans ces mondes intermédiaires du « regard féminin » et du « regard masculin », les frontières entre le soi et l’extérieur, que Szproch explore son Alltagsfantasie.
Elle y défie les normes sociétales draconiennes et assouvit ses besoins et ses désirs sans compromis : « Tout ce que font les femmes (polonaises) est soumis à un examen public constant. On nous refuse le droit au plaisir et à la joie. C’est ce que je refuse intuitivement, mais aussi un martyre féminin qui m’affaiblit. « En 2012, JOANNA SZPROCH a quitté la Pologne. À Berlin, elle voulait échapper au corset misogyne et conservateur de sa patrie strictement catholique, être libre. Mais six ans après le tollé social de #metoo, les antiféministes continuent de prétendre que le viol n’est pas un crime contre les femmes, mais contre la propriété. Szproch se bat contre le système dysfonctionnel du patriarcat – un combat qui doit encore être mené dans la société et dans la vie de tous les jours afin d’apporter des changements.
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