CENT ONZE CENT QUINZE
CENT ONZE CENT QUINZE
“Lin Ying Qin est ma voisine. Tous les jours, je la croise assise au bas de son immeuble. J'habite au 115, elle au 111. Elle porte des pantalons à fleurs que sa mère lui ramène du marché. Elle n'a jamais froid, jamais chaud, elle n'a jamais faim. Ying Qin me raconte ses rêves. Ce que je sais d’elle, je l’apprends lentement à travers nos rires et nos discussions maladroites.”
Drawings, Photos, Texts - Florian Maricourt / Poems - Lin Ying Qin
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