Le Bonheur
Le Bonheur
Quand Jan, simple mortel tombe amoureux de Guerre, l’un des Quatre Cavaliers de
l’Apocalypse, on pourrait s’attendre au pire. Et pourtant… Dans un monde de
désolation où toute trace de vie à disparu, prend forme la plus douce et
paisible des histoires d‘amour. Au cœur d’un univers aux limites inconnues, deux
amants partent à la découverte de leur intimité naissante, comme une graine
qu’on plante et qui s’épanouit loin du tumulte. De la destruction à la
renaissance, l’amour vécu pleinement réhabilite tout et apaise pour l’éternité.
Corentin Garrido nous a déjà montré sa virtuosité dans Astroboy (La 5e Couche)
et Tout va bien (Fidèle). Avec Le Bonheur, il nous fait découvrir des talents
dignes d’un sculpteur de la renaissance… On pourrait presque toucher les corps
de ses personnages tant la chair est incarnée ! Mais les références de ce récit
fantastique sont bien contemporaines et se situent plus autour de la série
Twilight ou de Colourful days de Gengoroh Tagame. À travers cette romance aussi
belle qu’improbable, Corentin s’interroge sur la finalité d’une histoire
d’amour, fut-elle douce et légère. Que désirent Jan, l’humain, et Guerre,
l’immortel ? Et nous, que cherchons-nous ? La réponse est peut-être dans le
titre…
Share

