Après Lips, nous retrouvons Maelfyt poursuivant sa dissection sur comment le glamour fonctionne de la nostalgie. Jurgen dissèque, comme il l’a fait l’année dernière avec les lèvres les accoutrements et les ornements emblématiques du désir. Dans Furs, il se concentre à nouveau sur la forme de son sujet, mais cette fois réduit le cadre aux spécificités de la fourrure. Il fait rebondir la lumière sur la surface des pages qu’il regarde avant de prendre la photo de la page imprimée, créer un peu comme Dirk Braekman un jeu ou une folie dans lequel l’incapacité de la photographie à représenter sont remises en question dans la culture de la copie et les variantes potentielles de la représentation ; photos en couleurs.
